Début de la résidence au Théâtre aux Main Nues le jeudi 8 décembre pour
La jeune fille aux mains coupées ou je me recompose (différemment)
avec Xavier Berlioz et Inés Hernández
mise en scène : Raffaella Gardon
dramaturgie : Shirley Niclais
texte : Nicolas Rollet
scénographie, marionnette : Nora Lesne
musique : Alexandre Gardon
mardi 6 décembre 2016
L'envol de Cartier version Italienne
Voici un extrait de l' enregistrement que j'ai fait pour le nouveau parfum pour homme de Cartier, L'Envol : L'Envol-Cartier-vi
Reprise
lundi 2 mai 2016
Zooschool al cinema classico- Torino
Zooschool screening in Turin at Cinema Classico Tuesday 3rd May 9pm
ZOOSCHOOL di Andrea Tomaselli esce in sala per una serata evento!
Il 3 MAGGIO alle ORE 21.00 al CINEMA CLASSICO DI TORINO.
Zooschool è un film horror a sfondo sociale.
Il regista ed autore Andrea Tomaselli, tuttora insegnante in un istituto tecnico superiore, narra di una nuova realtà scolastica la cui violenza non è più rappresentata dalla bacchetta del maestro, ma dall’arroganza di alunni e professori.
Si tratta di una produzione low budget, sperimentale ed indipendente realizzata con il sistema dei co-producers; per raccogliere fondi è stata anche lanciata una campagna crowdfunding “Indiegogo”.
In un momento in cui i lavoratori del mondo dello spettacolo si trovano ad affrontare un sistema che non li valuta quanto dovrebbe, produzioni come Zooschool offrono la risposta. Senza cedere né indietreggiare, costituiscono un nuovo sistema cinema: libero, indipendente, di qualità.
ZOOSCHOOL di Andrea Tomaselli esce in sala per una serata evento!
Il 3 MAGGIO alle ORE 21.00 al CINEMA CLASSICO DI TORINO.
Zooschool è un film horror a sfondo sociale.
Il regista ed autore Andrea Tomaselli, tuttora insegnante in un istituto tecnico superiore, narra di una nuova realtà scolastica la cui violenza non è più rappresentata dalla bacchetta del maestro, ma dall’arroganza di alunni e professori.
Si tratta di una produzione low budget, sperimentale ed indipendente realizzata con il sistema dei co-producers; per raccogliere fondi è stata anche lanciata una campagna crowdfunding “Indiegogo”.
In un momento in cui i lavoratori del mondo dello spettacolo si trovano ad affrontare un sistema che non li valuta quanto dovrebbe, produzioni come Zooschool offrono la risposta. Senza cedere né indietreggiare, costituiscono un nuovo sistema cinema: libero, indipendente, di qualità.
mardi 23 février 2016
lundi 22 février 2016
Brouhaha - Performance à la Maison de la Poésie à l'occasion de las ortie du livre de Lionel Ruffel "Brouhaha. Les mondes du contemporain"
Bons baisers du Contemporain


Il est fondamental de saisir d’abord que « contemporain » est à concevoir en tant que substantif et non comme adjectif. Ce n’est pas l’art contemporain, la littérature contemporaine, l’architecture contemporaine qui sont ses objets, mais l’advenir et le devenir de leur co-temporalité. Si bien que les catégories historico-esthétiques en sont bouleversées : le contemporain demande l’abandon de vieilles représentations historiques pour une représentation d’abord linéaire, séquentielle, successive de l’histoire puis pour une vision de la superposition des temporalités.
Lionel Ruffel accompagne ainsi le spectateur à la lecture de sa publication, avec finesse, modestie, drôlerie et sympathie. Il saura même emprunter à un co-rédacteur du magazine en ligne Diacritik, une parlure désormais célèbre sur les réseaux, et donc de citer « Quant tout à coup, dirait Johan Faerber » pour enchainer ensuite sur un résonnement. Le temps et les médias étant une dialectique de taille pour l’étude du phénomène de la contemporanéité notamment parce que deux milliards de gens, nous dit Ruffel, publient tous les jours quelque chose. Du temps à l’espace, l’enquête suit son cours. Et nous dévoile, cet espace que déjà Foucault, en visionnaire, percevait comme le lieu de la simultanéité et de la juxtaposition. C’est le tournant spatial de la pensée, des pratiques artistiques. Et la géographie ne sera pas là pour centraliser mais pour décentraliser sans cesse, pour donner le mouvement d’un montage continu dans le discontinu. Si bien que le spectateur/auditeur comprend pourquoi la modernité ne peut être la dynamique de cette recherche qui la met hors jeu : parce qu’elle est sans cesse décadrée et surtout, débordée. Encore que la modernité appelait déjà l’illimité et l’infini et déclarait la mort de l’auctorialité pour clamer la primauté du collectif. Mais le monde a changé depuis les premiers romantiques allemands et puis Blanchot, il s’est mondialisé plus qu’internationalisé. Le brouhaha appelle à rester connecté.



Lionel Ruffel, Brouhaha. Les mondes du contemporain, éditions Verdier, 2016, 212 p., 15,80 € — Lire un extrait en pdf
dimanche 3 janvier 2016
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